Le contrôle technique est une visite réglementaire imposée sur presque tous les véhicules motorisés. Il a pour but de détecter les défaillances possibles d’un véhicule afin de sécuriser les routes françaises. Il est obligatoire pour la majorité des véhicules du territoire français d’effectuer cette vérification tous les 2 ans à partir des 4 ans de mise en circulation d’un véhicule.
Les véhicules devant obligatoirement passer le contrôle technique
Nous retrouvons dans la catégorie des véhicules particuliers devant obligatoirement passer le contrôle technique :
- Les véhicules légers,
- Les véhicules électriques et hybrides,
- Les véhicules de société,
- Les véhicules GPL,
- Les 4x4,
- Les camping-cars de moins de 3,5 tonnes.
Les véhicules utilitaires sont également soumis au contrôle technique périodique obligatoire tous les deux ans et sont contraints de passer tous les ans le contrôle technique antipollution.
Les véhicules dispensés de contrôle technique
Tous les véhicules doivent normalement être contrôlés régulièrement mais quelques véhicules ne sont pas concernés par cette vérification périodique obligatoire, comme :
- Les deux roues (motos et scooters),
- Les voitures sans permis (ou voiturettes),
- Les caravanes et remorques,
- Les tracteurs,
- Les véhicules diplomatiques.
Le contrôle technique pour les 4x4
Le contrôle technique est une démarche obligatoire. Il s’effectue tous les deux ans pour les véhicules légers de plus de 4 ans. Les 4x4 sont soumis, au même titre que les camping-cars, les véhicules GPL ou les voitures de société, à la même réglementation que les véhicules « classiques ».
Le contrôle technique d’une voiture de collection
Les véhicules de collection (plus de 30 ans d’âge) ne sont pas soumis à la même réglementation que les véhicules particuliers légers.
Le contrôle technique d’un véhicule électrique
Depuis le 10 janvier 2014, les véhicules électriques et hybrides sont soumis à la même réglementation que les véhicules « classiques » concernant leur passage au contrôle technique tous les 2 ans. Cette obligation fait suite à l’arrêté ministériel de l’Ecologie du 15 janvier 2013.